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Premières de novembre : Cas Public et Margie Gillis sous les projecteurs

  • Photo du rédacteur: Mickaël Spinnhirny
    Mickaël Spinnhirny
  • 7 nov.
  • 2 min de lecture

MIKRO / BARTÓK d’Hélène Blackburn et Cai Glover, et L’âme du poète de la Fondation de danse Margie Gillis se dévoilent aux publics.


Mikro et Âme du poète

Deux figures emblématiques de la danse contemporaine québécoise lancent ce mois-ci leur toute nouvelle création, afin d’éblouir et rallier les générations.



Après le succès de 9.2, Hélène Blackburn et Cai Glover signent leur deuxième œuvre à quatre mains. MIKRO / BARTÓK tisse des liens entre la musique, le jeu et le langage. Le point de départ : le cycle Mikrokosmos du compositeur Béla Bartók, une série de pièces écrites pour apprendre le piano, mais aussi une œuvre qui ouvre l’oreille à la poésie du monde. Le jeu du coucou, symbole de l’absence et du retour, fait ensuite écho à la curiosité de l’enfance. Puis vient le langage : les premiers mots, le verbe être, cette découverte qui aide à se dire et à comprendre le monde. Le spectacle suit le fil sonore tracé par Bartók pour explorer la construction de soi. Cette nouvelle création prend son envol le 22 novembre à 16h à l’Agora de la danse devant petits et grands, et promet déjà de se propulser à travers le Québec et l’international.



Margie Gillis signe L’âme du poète, hommage vibrant au parolier Gilles Vigneault. Déployant sa signature chorégraphique inimitable sur les paroles du grand chanteur québécois, Gillis donne à nos souvenirs un air de fête. Le passé s’incarne et se tourne vers l’avenir, porté par des interprètes dévoués, dont les mouvements sont portés par la vision de deux géants de l’art vivant québécois. En s’ancrant résolument dans le présent, L’âme du poète prend les nostalgiques par une main et tend l’autre aux générations actuelles afin de leur faire découvrir des piliers de notre culture dans une facture dynamique. Présenté en première mondiale au Théâtre Gilles-Vigneault (belle coïncidence !) à Saint-Jérôme le 4 novembre, l’œuvre ira parler d’amour aux publics de Mont-Laurier, Sherbrooke, Montmagny, Québec et Terrebonne début 2026.





 
 
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